Cette légende fut contée par un certain Haar, à présent mort assassiné. Les plus vieux habitants d’Angleterre connaissent et ont toujours en mémoire le souvenir de ce mythe obscur, qui a pourtant bouleversé leur vie.

Le mythe fait le tour de l’Europe, et les gens en rient. Ils trouvent ce mythe ridicule, et n’hésitent pas à faire part de leur avis au Royaume-Uni. Quelques semaines passent, les habitants moqueurs sont plongés dans la plus terrible punition qu’il soit : ils perdent leur vie.

La plage. Les habitants oublient peu à peu la légende et les incidents liés à celle-ci. Certains affirment avoir vu une ombre passer rapidement sur la poudre mouillée. Les policiers affirment que ce ne sont que des illusions, qu’ils délirent. Quelques semaines passent, on leur ôte la vie à leur tour.

« Les légendes liées à cette créature seront scellées dans la nouvelle ville. » déclare l’un des anglais ; « S’il doit y avoir un meurtre, un mort, cela se passera dans Krimscare. » continue un autre.

Le projet de la construction de la ville est achevé : Krimscare est désormais une ville à part entière. Ville sous le symbole de la mort et des meurtres, les crimes y font fureur. Beaucoup des personnifications, des AGM et d’humains y font surface : ils y découvrent un endroit bon à vivre. Pour certains, la vie est ôtée de leur corps ; pour d’autres, ils vivent paisiblement.

Bien sûr, Krimscare a une signification : « Krim » étant le surnom de la créature malfaisante, et « Scare » étant la peur. Tel était l’idée des gourvernants : « sceller à jamais les crimes et choses malsaines ».